Vendredi 19 août 2016
C’est exactement il y a 50 ans (15 août 1966 – 15 août 2016) que les premiers missionnaires comboniens ont foulé le sol centrafricain. Le lundi 15 août, la messe solennelle du jubilé a été célébrée. Elle a été présidée par Mgr. l’archevêque de Bangui, Dieudonné Nzapalainga. Etaient aussi présents à la célébration Mgr. Perin Guerrino, évêque de Mbaïki, les confrères de nos communautés, environ quarante prêtres et de nombreuses sœurs. La communauté chrétienne était au rendez-vous. Avec la messe solennelle du jubilé il y a eu l’ordination diaconale de deux confrères centrafricains: Endjegandeyo Yepoussa Fugain Dreyfus et Ngonda Tollet Romain Rodolphe. Dans la photo: Endjegandeyo Yepoussa Fugain Dreyfus et Mgr. l’archevêque de Bangui, Dieudonné Nzapalainga.
Dans la photo:
Ngonda Tollet Romain Rodolphe.
A la paroisse Notre Dame de Fatima à Bangui, la célébration du jubilé a commencée par un triduum pour la prière des vocations. Le mercredi 10 août, premier jour du triduum, les abbés Guy Charly Mamoundayen et Daniel Gbate (tous deux natifs de la paroisse N.D. Fatima) ont partagé avec la communauté chrétienne leur cheminement vocationnel et leurs expériences pastorales. Le jeudi, deuxième jour du triduum, la sœur Marie Charlotte a partagé son cheminement vocationnel et a invité les filles à s’engager dans la vie religieuse sans peur. Le vendredi 12 août, troisième jour du triduum, les laïcs comboniens sont intervenus pour présenter leur groupe et leur engagement aux côtés des missionnaires comboniens et des sœurs comboniennes. Le samedi 13 août, un concert religieux a été organisé et animé par les 3 trois chorales de la paroisse N.D. Fatima. Durant ce concert le scolastique Fugain Dreyfus Endjegandeyo Yepoussa a procédé à la présentation de deux ouvrages : « Plaidoyer pour la paix en Centrafrique » et « Enjeu de Dieu et les défis africains ».
Une nouvelle page vient de commencer pour la Délégation de la Centrafrique. « Je L’ai toujours servi, je Le sers maintenant, et je Le servirai toujours jusqu’à la mort» (Écrits n° 6900).